samedi 25 juillet 2009

288- Le secret d'Eunerville - Lupin de Boileau Narcejac



Le secret d'Eunerville
Une aventure d'Arsène Lupin

Boileau - Narcejac

Librairie des Champs Elysées, 1973

4ème de couverture : UNE AVENTURE INEDITE D'ARSENE LUPIN et l'une des plus prodigieuses. L'extraordinaire secret que renferment les murs du château d'Eunerville, le vieillard le livrera-t-il, sous la torture ? "Le sang!", dit-il. Mais de quel sang s'agit-il ? Et que viennent faire ici Saint Jean, Jacob et d'Artagnan ? Avant qu'Arsène Lupin ne découvre la stupéfiante vérité, quelles redoutables épreuves ne devra-t-il pas affronter, où se mêlent étroitement l'amour et la mort !

Et voilà le décor est planté ! Boileau et Narcejac reprennent le flambeau de Maurice Leblanc pour concocter une nouvelle histoire bondissante et chevaleresque du célèbre Arsène Lupin. Sous les traits du dandy Raoul d'Apignac, en l'an 1914, du journaliste désinvolte et charmant Richard Dumont ou du timide secrétaire bibliothécaire Léonce Catarat, il s'acharne à découvrir le secret du château d'Eunerville, affrontant mille dangers et tombant sous le charme d'une fragile Lucile.

Le jeu d'échecs certes est au final de l'énigme,, page 131 une tapisserie et le roi François 1er allongeait le bras pour saisir une pièce tandis que son adversaire réfléchissait. (...) Au pied du roi, on reconnaissait Triboulet, qui jouait avec un lévrier. et connaissez-vous l'échiquier des comtes d'Eunerville ?, vous le saurez page 240, la position de son fou, n'est-ce pas ?

http://www.ratsdebiblio.net/boileaunarcejaclesecret.html

287- La partie espagnole - Cumming


La partie espagnole
Charles Cumming
Ed. du Masque, 2006


4ème de couverture :
Exilé par nécessité - à la suite d'une opération qui a mal tourné, son employeur, le MI6 britannique, l'a lâché - Alec Milius se terre à Madrid. Un emploi de façade, plusieurs passeports et autant de téléphones mobiles, une maîtresse clandestine et l'oeil fixé en permanence sur son rétroviseur : tous les symptômes de la paranoïa sont là, cet homme est bien un espion, quoique sans mission. La disparition d'un industriel basque membre de l'ETA offre à Alec l'occasion de reprendre le collier. Les vieux réflexes se réveillent et , entre l'obsession de la trahison et l'adrénaline à flux constant, c'est toute une joie de vivre - dangereusement - qui lui revient. Mais s'aventurant seul, sans soutien, dans une partie où le gouvernement espagnol, la CIA et le SIS sont impliqués, Alec fera-t-il le poids ? Cette intrigue d'une vertigineuse perversité, telle une succession de feintes sur un échiquier, a suscité l'enthousiasme unanime de la critique britannique. (...)
Né en 1971 en Ecosse, Charles Cumming a fait ses études à Eton et à l'université d'Edimbourg avant d'être contacté par les services secrets britanniques. Il a vécu à Montréal, puis à Madrid.


Paysages d'Espagne et du Pays Basque, séjour illustré dans Madrid, aperçu des groupes terroristes, ambiance ETA, espions, secrets de tous bords et actions à rebondissements. Et partie d'échecs sans doute en arrière-plan, ainsi quelques bons mots à l'occasion : page 412 par exemple, "j'aurais joué le coup différemment", ou "Si la CIA doit se servir de moi comme d'un pion", ou "Ma vie est devenue une espèce de Rubik's Cube qu'il m'est tout simplement impossible de résoudre".

Bien entendu, il faut aussi lancer un petit coup d'oeil sur le sommaire, ainsi :
1. Exil 2. Bagage 3. Taxi Driver 4. Le gardien des secrets 5. Ruy Lopez 6. La défense 7. M et Mme Church 8. Another Country 9. Arenaza 10. Niveau trois 11. California Dreaming 12. Conversation sur l'oreiller 13. Développement 14. Le chicote 15. Le disparu 16. Penagrande 17. Un week-end en pure perte 18. Atocha 19. Milieu de partie 20. Nettoyage à sec 21. Ricken nouvelle formule 22. Barajas 23. Bonilla 24. El Cochinillo 25. Notre homme à David 26. Sacrifice 27. Une tombe à fleur de terre 28. La sale guerre 29. Otage 30. Dehors 31. Plaza de Colon 32. La veuve noire 33. Reina Victoria 34. Le château de cartes 35. La Bufanda 36. Un rendez-vous arrangé 37. Le corbeau 38. Columbia 39. Matière première 40. Ligne 5 41. L'espion dormant 42. La vibora Negra 43. A contrejeu 44. L'anglais qui disparaît 45. Fin de partie


Oui vous avez bien lu, 5. Ruy Lopez, il s'agit en effet de l'ouverture espagnole, joué page 38 et suivantes, au Café Comercial à Madrid : Tous les mardis et jeudis soir, l'étage supérieurs du Commercial tient lieu de club à une assemblée éclectique de riverains amoureux des échecs. (...) Saul pousse un pion en e4, et frappe sur l'horloge. Je joue e5 et nous entrons aussitôt dans une Partie espagnole. (...) L'ouverture s'est jouée en vitesse et il semble détenir maintenant un léger avantage : le centre est pris en tenaille par les blancs, et je ne peux pas tenter grand-chose, excepté défendre en profondeur et attendre l'assaut (...).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ruy_L%C3%B3pez

http://www.chessgames.com/perl/chessopening?eco=c60


Et vision d'un artiste peintre amateur d'échecs
http://pagesperso-orange.fr/eb-artiste/page/charlot.html
http://pagesperso-orange.fr/eb-artiste/page/echecs.htm#2007

dimanche 12 juillet 2009

286- Mat de Ronan Bennett


Mat
Ronan Bennett

Ed. Sonatine, 2009
(Titre original : Zugzwang, 2007) Ronan Bennett, docteur en histoire, romancier et scénariste, né en 1956 en Irlande du Nord. Victime d'une erreur judiciaire, a passé de nombreux mois dans des prisons irlandaises et anglaises avant d'être acquitté.

La 4ème de couverture annonce un fascinant thriller historique dans le monde des échecs et de la psychanalyse. Saint-Petersbourg, 1914. Alors que va s'ouvrir le grand tournoi d'échecs international (...) la révolution couve dans les rues. (...), le docteur Otto Spethmann (...) essaie de se tenir éloigné de l'agitation politique (...) Parmi eux (ses patients), Rozental, grand maître d'échecs et génie à l'esprit perturbé, au bord de la dépression nerveuse. (...) Débute alors une véritable partie d'échecs aux multiples rebondissements et à l'issue incertaine. Pièce d'un jeu dont il ignore tout, il va devoir utiliser tous ses talents d'analyse pour identifier les autres joueurs et leur stratégie, afin de remporter la victoire sur cet échiquier à la fois amoureux, politique, criminel et psychanalytique.

Une fin de partie et les diagrammes associés, inspiré d'une partie King-Solkolv cht suisse par équipe 2000, accompagnent l'intrigue du roman jusqu'au zugzwang ! Rencontres brèves avec quelques grand-maîtres de l'époque, et un Rozental plutôt dérangé ! Dans une athmosphère de complots et d'intrigues, mort au roi, mort au tsar !

Tournois célèbres de St Petersbourg : 1909 et 1914

La ville de Saint Petersbourg

Ronan Bennett



Analyse de Jean-pierre LION, merci !

MAT De Ronan Bennett
, Sonatine, 04/2009, 299 P. € 22,00

            Voilà un roman dont l’économie de la chronique ne saurait être faite tant il va se situer haut sur l’échelle des productions de genre de l’année. Ceci dit, il ne relève pas d’un genre de l’imaginaire ni même des transfictions mais du polar historique aussi mimétique que possible. Le lieu : Saint Petersbourg. L’époque : le printemps 1914. La guerre couve. La révolution gronde. Un chaudron en ébullition dans lequel R. Bennett ajoute une bonne louche de psychanalyse et une grosse poignée de jeu d’échecs. À moins que ces ingrédients ne vous agréent point, il y a là tout pour ciseler une intrigue de haut de gamme ; d’autant qu’au fil des pages, l’auteur va se révéler un extraordinaire orfèvre ès thriller, faisant parler la précision du docteur en histoire.

            Autour du personnage principal, Otto Spethmann, un psychanalyste juif qui tente tant bien que mal de se maintenir à l’écart de l’agitation de l’époque pour se consacrer à sa fille – Il est également veuf – et à ses patients. Mais l’une et les autres vont le replonger dans le Zeitgeist. L’intrigue forme une triple boucle autour de lui qui va finir par se resserrer comme autant de nœuds coulants. Sur la première, on rencontre son ami, le violoniste juif virtuose avec qui il joue aux échecs et qui lui présente Avrom Rozental, un champion d’échecs juif polonais très perturbé. Sa fille, Catherine, qui fréquente des activistes occupe la deuxième boucle en compagnie du policier Lychev qui enquête sur la mort d’un de ses derniers. La troisième comprend Zinnourov, un industriel pétersbourgeois pro allemand et antisémite, Anna, la fille du précédent qui est la cliente et devient la maîtresse de Spethmann et le colonel Gan, chef de l’Okhrana. Enfin, coupant ses boucles en divers point, on rencontre le terroriste Berek Medem et le député bolchevique à la Douma et homme de confiance de Lénine alors en exil, Grigori Petrov, qui est également en analyse avec Spethmann.


         Dans ses remerciements, en fin de volume, Ronan Bennett ne fait pas mystère de ce que le personnage de Grigori Petrov incarne dans le roman la figure historique de Roman Malivowski, député à la Douma, considéré comme digne de confiance par Lénine et depuis 1910, agent de la police secrète. Malinowski démissionnera du parti en mai 14, date qui correspond à la fin du roman.


        Bennett écrit (page 297) « S’il y eu bien un grand tournoi d’échecs à St Petersbourg en avril/mai 1914, aucun joueur du nom d’Avrom Chilowicz Rozental n’y prit part. Les passionnés d’échecs auront leur avis sur l’identité de l’homme dont ils estiment que mon héros s’inspire. » Selon moi, il y avait cinq candidats possibles. Szymon Winaver qui avait été invité, mais avait décliné, vraisemblablement en raison de son age. David Janowski a, lui, participé au tournoi. S’il est bien juif, Aaron Nimzowitch n’est pas polonais et sa carrière est encore loin des sommets qu’il tutoiera après la guerre. Xavier Tartakover, présent à St Petersbourg au tournoi de 1909, ne semble pas avoir été invité à celui de 1914. Aussi, l’homme dont j’estime que le héros de Bennett s’inspire est Akiba Rubinstein. Mêmes initiales, juif polonais pauvre (Rubinstein n’aura jamais les moyens de satisfaire les exigences financières de l’organisation d’un championnat du monde contre les tenants du titre, E. Lasker puis Capablanca, comme il était alors de coutume.) ayant fait des études religieuses pour devenir rabbin, sujet à des troubles schizophréniques s’aggravant à partie de 1932. Vainqueur du tournoi de 1909 avec notamment une victoire sur Lasker, Rubinstein a été éliminé au tour préliminaire du tournoi de 1914 à la surprise générale car il était alors considéré comme le plus fort joueur au monde. La description que Bennett fait de Rozental dans son roman correspond assez bien à la photo de Rubinstein prise en 1909 lors de sa partie victorieuse contre Lasker. Rubinstein ne se remettra jamais de sa contre-performance de 1914 à St Petersbourg ; son apogée aura duré de 1907 à la Guerre. Quand Lasker perd en 1909 contre Rubinstein, il est en Zugzwang, terme qui est le titre anglais en allemand de ce roman et qui, aux échecs, désigne une situation d’effondrement de la qualité où chaque coup que le camp perdant est contraint de jouer contribue à affaiblir davantage encore sa position.


          Une légende veut que les cinq participants du second tour du tournoi de 1914, (Lasker, le champion du monde, Capablanca et Alekhine qui lui succéderont, Siegbert Tarrasch qui consigna les parties dans le livre du tournoi et Frank Marshall) aient été nommés par le tsar Nicolas II premiers Grands Maîtres d’échecs. Rien n’atteste cependant ce fait antérieurement à un article américain de 1940. Rubinstein devra attendre que la Fédération Internationale des Echecs (FIDE) fondée entre temps ne crée le titre de GMI en 1950 pour se le voir enfin attribuer ainsi qu’à 26 autres joueurs. (On compte aujourd’hui 900 GMI soit 0,02% des licenciés) La carrière de Rubinstein fut en réalité moins tragique que ce que laisse augurer celle de Rozental dans le roman. Enfin, toujours dans ses remerciements, Bennett cite le livre de Hans Kmoch : Rubinstein’s Chess Masterpieces : 100 selected Games.

         Au regard de l’intrigue, il eut été opportun de conserver le titre original tant le thème du Zugzwang est récurrent tout au long du roman ; malheureusement, en France, il ne parle qu’au joueurs d’échecs contrairement à celui de « mat », métaphore des plus courante. C’est bien sûr le thème final de la partie qui oppose Spethmann et Kopelzon et qui est analysée au fil du roman avec diagrammes à l’appui. Mais c’est surtout une intéressante métaphore de la politique intérieure de la Russie impériale. Que la politique de Nicolas II oscille entre une ligne répressive prônée par l’Okhrana et une faction pro allemande ou une ligne plus modérée comme celle de Piotr Stolypine, Premier Ministre assassiné le 18 septembre 11 par un activiste à la solde de l’Okhrana (Fait qui n’est pas sans rappeler le roman et inversement.), la révolution et la chute du régime tsariste semble d’ores et déjà inéluctable.

         Il est rare en littérature d’assister à de véritable séance de psychanalyse. Bien souvent, il ne s’agit, au mieux, que de simple psychothérapie. Ronan Bennett montre bien le travail de l’analyste à provoquer des réminiscences lors de la séance avec Anna ainsi que la souffrance qu’il y a à faire remonter à la conscience des événements traumatiques que le psychisme à juger bon de refouler dans le tartare de l’inconscient. Alors que Spethmann a des ennuis avec le policier Lychev, Anna propose de téléphoner à son père, Zinnourov, qui à le bras long et l’oreille du ministre de l’intérieur, pour faire cesser les tracasseries. Cela peut être interprété comme un acte de résistance du refoulé pour rester enfoui car Anna croit que son père à tuer sa grand-mère. Zinnourov, lui, tient à sa fille qui ne souhaite plus le voir et offre sa protection à Spethmann qui est censé renvoyer l’ascenseur en incitant Anna à reprendre contact avec son père. Plus tard, Zinnourov exigera que Spethmann cesse l’analyse d’Anna, ne tenant pas à voir ressurgir le passé. Ce qui peut correspondre à une volonté inconsciente de continuer à refouler les événements qui ont eu lieu à Kazan.

          L’action du roman est située en 1914 et les premiers écrits du père de la psychanalyse ne datent que de 1895. Or, alors que la psychanalyse na pas encore 20 ans, il n’y a aucune référence à Freud dans le roman quand bien même Spethmann se voit confronté en la personne de Rozental à un cas inédit. Pourtant, quand il en vient à envisager une explication du cas Rozental liée à la mystique juive, un recours à Freud, également juif, semble naturel. Cela semble curieux mais ce n’est pas pour autant en contradiction avec l’histoire des débuts de la psychanalyse.

       Grigori Petrov est le troisième patient de Spethmann que l’on verra en analyse durant le roman et il faut prêter une attention très soutenue à ce qu’il s’y dit ; ce que n’a pas fait Spethmann qui se montre là moins brillant que la quatrième de couverture ne nous le présente. Si vous connaissez bien la Révolution Russe, il faut éviter de commencer ce livre en lisant le péritexte sous peine d’y perdre quelque saveur. D’intéressantes révélations sont faites lors de la séance avec Petrov qui auraient éclairé les événements pour Spethmann d’un tout autre jour et la chute du « Roi » n’est plus alors une surprise.

         Voilà un magnifique roman où la dizaine de personnages est ciselée avec une maestria exemplaire et le complot au centre duquel Spethmann se trouve impliqué est un chef d’œuvre bien dans la manière d’opérer provocatrice de l’Okhrana. Ronan Bennett s’est employé à inscrire son livre dans les interstices d’une histoire bien connue en la respectant autant que faire se peut. Mat est meilleur roman inédit qu’il m’ait été donné de lire cette année. Il vaut bien plus que le temps nécessaire à sa lecture. C’est beau, précis, brillant comme une combinaison en six coups !!

285- La défense Sicilienne en vidéo

La Défense Sicilienne
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9fense_sicilienne
Selon Svechnikov, « Aucun joueur ne peut devenir champion du monde s'il n'inscrit pas dans son répertoire la défense sicilienne. »

http://utility.chez-alice.fr/echecs/Sicilienne_def.htm


http://www.mjae.com/sicilienne.html

http://www.5min.com/igorgleb



284- En ligne, étude sur l'échiquier policier ...

En ligne sur internet

L'échiquier policier

Stratégie et tactique de la littérature policière

Article de Moez Lahmédi

à lire sur
http://pagesperso-orange.fr/arts.sombres/polar/4_dossiers_articles_lahmedi_fr.htm

C'est aussi une indication de recherche pour les collectionneurs ...

283- Photo échiquier géant à Helsinki - Finlande


Helsinki le mardi 26 février 2008 - 13 heures - 6° - beau temps
voyage en Finlande, photo de l'étudiant en histoire Benoit Georget pour un périple hautement éducatif. Dans son fourbi, cette photo de joueurs finlandais prise dans un parc d'Helsinki (kaisaniemi), quelques mots de vocabulaire : Moi = bonjour, Kiitos = merci...

282- Vidéo de champions au tournoi de Fouesnant !

Tournoi de FOUESNANT : Superbe travail et interviews de "pedrovannes"
vu sur You Tube http://www.youtube.com/watch?v=3_LqkVknE0w&eurl=http://www.echecs-gagnant.com/accueil.php


281- Expo à la médiathèque de Guer 19 mars 2008



LA MEDIATHEQUE DE GUER
expo Echecs - mars 2008

« Les pièces de l'échiquier étaient impitoyables. Elles le retenaient, elles l'absorbaient. Il y avait de l'horreur en cela, mais aussi une harmonie unique. Car, qu'y a-t-il dans le monde, à part les échecs ? »
Vladimir Nabokov

La finale des CHAMPIONNATS ACADEMIQUES D'ECHECS
(écoles et lycées des quatre départements bretons)
s'est déroulé le 19 mars 2008 à la Salle de La GARE à GUER
Sept rondes de 16 mn à la pendule.

Bravo à la municipalité de Guer et en particulier à M. Gonny, d'avoir permis à près de 2OO joueurs de collèges et lycées de jouer la finale académique bretonne dans cette belle salle de la Gare!

"La médiathèque s'associe à cet évènement en proposant une sélection de livres, films, musique sur le thème du jeu d'échecs."
Belle initiative !
http://mediathequedeguer.hautetfort.com/

280- Le club des 5 joue et gagne - Enid Blyton


Le club des 5 joue et gagne
Enid Blyton
Ed. Hachette - Nouvelle Bibliothèque rose, imprimé en 1971
Illustrations de Simon Baudouin - Origine 1956

Voici donc pour cet exemplaire de ce roman une jolie couverture digne du jeu d'échecs. Cependant dans le livre, pas de jeu d'échecs. Seule cette page et ce titre porteur "joue et gagne".
Retrouvez ci-dessous sur le site ci-dessous la recherche effectuée pour comparer la traduction française et retrouver un peu l'ambiance de la littérature jeunesse :http://perso.orange.fr/serge.passions/c5_comparaison_club_des_cinq_joue_et_gagne.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Club_des_Cinq

279- DIx petits nègres - Agatha Christie




Dix petits nègres
Agatha Christie
Ed. LCE -, 1947,
Impression de cet exemplaire 1980, Club des Masques n°402

Pas de jeu d'échecs dans le roman...
Autre couverture : sur le sitehttp://www.etab.ac-caen.fr/albert-camus/policier/fiches/mbdix.htm
et retrouvez sur ce site, sous forme de jeux, la comptine...
Dix petits nègres s'en allèrent dîner.
L'un d'eux étouffa et il n'en resta plus que Neuf...

Retrouvez cette comptine et ses origines sur Wikipedia
ainsi que ses nombreuses adaptations à l'écran et au théâtre
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dix_petits_n%C3%A8gres